Quelques phares de la collection de Frédéric agrémentent le patchwork de la plage.
Il y a très peu de temps que j’ai appris qu’il y avait des phares d’enfer, de purgatoire et de paradis.
Intriguée par ces appellations, j’ai cherché sur internet l’origine de ces noms : j’ai trouvé les explications sur le site : LES
PHARÔDEURS
Emplacement : de l’Enfer au Paradis
En France, les gardiens de phare ont attribué trois appellations aux phares qu’ils occupaient. Ces noms se basent sur l’emplacement des édifices, qui influait considérablement sur leurs conditions de vie. L’enfer, le purgatoire et le paradis font également référence à une progression du parcours d’un gardien de phare, qui commençait d’ordinaire dans un enfer, puis passait dans un purgatoire avant de finir sa carrière dans un paradis.
Les enfers
Les enfers sont des phares isolés en pleine mer, sans même un bout de terre autour. Il est quasiment impossible de sortir du phare, et les relèves étaient souvent dangereuses pour les gardiens en cas de tempêtes ou de conditions météorologiques difficiles.
Les purgatoires
Les purgatoires sont des phares construits sur un îlot. Ce dernier est inhabité, mais les gardiens et leurs familles pouvaient y circuler librement, pêcher, et même élever quelques animaux.
Les paradis
Les paradis sont des phares bâtis à terre : sur le continent ou sur une île habitée. Les gardiens avaient la possibilité de sortir du phare et de vaquer à des occupations terrestres, de se rendre dans des commerces… Souvent, c’est dans ce type d’édifice qu’ils terminaient leur carrière.
3 commentaires:
Belle broderie.
Belle collection de phares.
Phares d'enfer: La Vieille, La Hague.
Phares du paradis: Gatteville, Cap Lévi.
Bon dimanche.
Sylvie
Sissi est incollable, c'est une fan de phare!
J'ai appris des choses aujourd'hui.
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